Intervention aux côtés de Mireille Damiano aux rencontres de la pensée critique des Amis de la liberté sur la situation des Mineurs Non Accompagnés dans les Alpes-Maritimes :
dimanche 14 avril 2024
mercredi 10 avril 2024
Pour la gratuité des transports en publics
Interview et réponses aux questions des auditeurs sur France Bleu Azur le 10 avril sur la gratuité des transports en commun, au nom du rassemblement citoyen VIVA :
dimanche 7 avril 2024
« En finir avec la corruption à Nice »
« En finir avec la corruption à
Nice »
- Les services et les élus n’ont rien vu (défaillance ? défaut de compétence ? manque de moyens dédiés au suivi des marchés ?)
- Ils ont laissé faire (complicité)
- Ils ont participé (culpabilité directe).
vendredi 29 mars 2024
Le quartier des Moulins à Nice, un double constat d'échec
Communiqué de presse du rassemblement
citoyens Viva :
Le quartier des Moulins à Nice, un
double constat d'échec
La
situation dans le quartier des Moulins est insupportable. C'est une souffrance
pour les milliers d'habitant.es qui tentent d'y vivre. Un cap a été franchi
depuis plusieurs mois avec des tirs en pleine rue, une recrudescence de
règlements de compte violents causant de nombreuses victimes et blessés graves.
Cette
situation met en évidence deux échecs :
-
Le premier échec, celui des opérations XXL,
avec descentes massives des forces de l'ordre sur un temps donné. Vieille
méthode pour impressionner, faire du battage médiatique et, il est vrai,
permettre à la population de souffler quelques jours. Mais chacun sait
d'expérience qu'une fois le dernier car de CRS parti, les trafics reprennent
place comme si de rien n'était.
Face à la situation dans le
quartier, le premier adjoint de Christian Estrosi, Anthony Borré, chargé de la
sécurité, propose ni plus ni moins que l'intervention de l'armée. Pour les
tenants du tout sécuritaire dont la police municipale et les outils
technologiques devaient servir de rempart face à tous les dangers, l’aveu
d’échec est cuisant.
-
Le second échec, c'est celui de la lutte
contre le trafic des stupéfiants et de la prohibition.
La situation des Moulins se
retrouve dans différents quartiers ou secteurs en France. Elle est le reflet
d'un échec plus général, celui des politiques menées depuis plus de 50 ans
contre les trafics des stupéfiants : la prohibition.
Il est urgent d'imposer le
débat pour sortir de cette impasse, de ces échecs à répétition au coût
important pour le pays. Ce débat se pose, d’autant plus qu’il ne concerne pas
une petite frange de la population, mais plus de 4,5 millions de consommateurs
occasionnels en France, plus de 70 000 dans notre département (1). Alors que la
lutte contre les stupéfiants est un échec patent, elle monopolise une grande
part des moyens de police et elle encombre la justice (2). L'argent dédié à la
prohibition du cannabis pourrait être réinvesti dans la santé publique.
De nombreux pays cherchent
des alternatives au tout répressif qui a échoué comme en France. L'Allemagne
vient d'annoncer la légalisation encadrée du cannabis à usage récréatif à
compter du 1er avril, avec des limites de quantités produites et consommées et
des limites de périmètres de consommation. La Ville de Strasbourg se déclare
favorable à une expérimentation locale. Le Rassemblement Citoyen VIVA appelle à
l'ouverture d'un grand débat public sur le sujet.
Soyons
honnêtes, il n'y aura pas de recette miracle. Les solutions ne découleront pas
d’opérations ponctuelles, mais d'un travail intelligent sur le long terme, avec
une volonté politique forte, qui nécessitera un travail collectif et
multifactoriel :
- Déploiement d’une
véritable police de proximité, tout au long de l’année, une présence humaine,
douée d'une expertise de terrain sérieuse, que ne saurait remplacer la
multiplication des caméras, drones et des bornes d'alerte.
- Renforcement des moyens
alloués à la police judiciaire qui permet de démanteler les réseaux de trafic
de drogue et pas simplement interpeller les revendeurs
- Renforcement des moyens
alloués à la justice dont nombre de magistrats ont établi des constats clairs
et des recommandations fortes
- Renforcement des moyens
alloués aux services de préventions, de soins, et de prise en charge de la
toxicomanie. La santé est la grande absente des politiques qui croient que la
répression résout seule tous les problèmes.
- Poursuite et accélération
du renouvellement urbain et renforcement de l’accompagnement social, aux
Moulins comme dans les autres quartiers défavorisés de Nice : casser la
ghettoïsation et les barres HLM, faire émerger un habitat à dimension humaine,
renforcer la présence des pouvoirs publics et soutenir bien davantage le monde
associatif.
- Mise en œuvre d'une
véritable politique à l’attention de la jeunesse en cessant de stigmatiser les
jeunes des quartiers. C’est l’absence de perspectives offertes aux jeunes qui
les poussent à grossir les réseaux de trafiquants.
- Ouverture d’un débat
public sérieux et argumenté sur la légalisation ou la dépénalisation du
cannabis, loin des postures caricaturales, pour envisager toutes les pistes
permettant de trouver une solution après 50 ans d’échecs de la prohibition. La
ville de Strasbourg se dit favorable à une expérimentation locale. La Ville de
Nice doit y réfléchir et se donner les moyens de trouver une alternative.
Nice, le 29 mars 2024
Rassemblement
citoyen Viva
(1) Selon les chiffres présentés par Santé Publique France, « En 2021, la moitié de la population adulte âgée de 18 à 64 ans déclare avoir déjà consommé du cannabis au cours de sa vie (....) en 2021, 10,6 % des adultes ont consommé du cannabis dans l’année,...». La région PACA est celle où l'usage quotidien est un des plus élevé, avec 2,7% de la population de 18 à 64 ans (Seule l'Occitanie nous dépasse avec 3%). On dénombre, en France, plus de 4,5 millions de consommateurs occasionnels et 700000 consommateurs quotidiens en France. Rapporté à notre département, cela concerne plus de 10 000 consommateurs quotidiens, 70 000 occasionnels, sans compter les touristes.
(2)
en 2019, 220 000 infractions relatives aux stupéfiants ont fait l’objet de 150
000 procédures enregistrées par la police ou la gendarmerie. 80% des procédures
concernaient uniquement l'usage de stupéfiants et non le trafic).
jeudi 28 mars 2024
Tous citoyens - Appels à solidarité !
Bonjour,
Plusieurs jeunes exilés se retrouvent ou vont se retrouver à la rue et ont besoin d'hébergements citoyens le temps des procédures au tribunal pour enfant pour obtenir la protection de l'enfance.
Si vous pouvez héberger l'un d'entre eux, même quelques nuits, cela lui évitera la rue, la peur et le froid.
Nous recherchons un toit pour :
- Deux jeunes malien de 15 ans et demi, Moussa et Oussi, déclarés majeurs par le Département 06 car ils n'ont pas de documents d'état civil originaux. Ils viennent de passer deux nuits à la rue à Nice, dans le froid, et ont besoin de se reposer au chaud.
- Ismaël, jeune ivoirien de 16 et demi, déclaré lui aussi majeur. Nous avons déjà les éléments nécessaires pour déposer son recours au tribunal mais il va se retrouver à la rue demain.
- Amadou, jeune guinéen lui aussi déclaré majeur qui a attend son audience au tribunal. Amadou est hébergé par des bénévoles mais va se retrouver à la rue le 4 avril.
Qui peut héberger l'un de ces quatre jeunes, même quelques nuits ?
Contactez Helvia au +33 6 19 99 14 03
Solidairement,
vendredi 22 mars 2024
Soutien à Cédric Herrou et aux compagnons d'Emmaüs Roya !
Nous dénonçons avec force ces interpellations et nous réaffirmons notre soutien à Cédric Herrou et à l'ensemble de la communauté Emmaüs Roya.
Cédric avait dénoncé quelques jours plus tôt les contrôles au faciès effectués à la frontière par les forces Sentinelles : ce sont les auteurs de contrôles au faciès qui doivent être poursuivis et non ceux qui les dénoncent !
Les intimidations policières subies par Cédric Herrou et les bénévoles de la Vallée de la Roya depuis plusieurs années sont inadmissibles. Le travail des forces de l'ordre y est dévoyé dans le seul but de maintenir une pression sur les citoyens solidaires.
Par son action, Cédric Herrou montre toutes les carences des pouvoirs publics : ce que font les compagnons d'Emmaüs Roya, à savoir accueillir dignement les exilé-es et leur permettre de s'intégrer par le travail, c'est le gouvernement qui devrait le faire.
Les préfets, les ministres de l'intérieur et les gouvernements passent. Mais le harcèlement politique de Cédric Herrou et des citoyens solidaires se poursuit. Cela doit cesser !
Non, la solidarité n'est pas un délit. Les citoyens solidaires font vivre la fraternité, qui, plus qu'une simple devise au fronton de nos écoles, a été reconnue, grâce à leur action, comme principe constitutionnel.
Nice, le 22 mars 2024
mercredi 13 mars 2024
Perquisitions et gardes à vue à la Métropole Nice Côte d'Azur
Perquisitions et gardes à vue à la Métropole Nice Côte d'Azur
De nouvelles perquisitions, des dizaines
d'interpellations, le Directeur de Cabinet et le Directeur Général des Services
de la Métropole placés en gardes à vue prolongées par la police...
L'affaire des irrégularités financières et techniques
des reconstructions dans les vallées de la Tinée et de la Vésubie semble loin
de connaître son dénouement. A l'heure où les investigations se poursuivent, et
où prévaut la présomption d'innocence, nous nous garderons bien de les
commenter.
Pour autant, force est de constater que la situation
est plus qu'alarmante. Ces nouveaux soubresauts s'inscrivent dans un contexte
de plusieurs affaires et de nombreuses enquêtes en cours, les unes pour
détournements de fonds publics, les autres pour trafics d'influence ou abus de
biens sociaux, concernant notamment :
- La gestion du GIP Grand Prix de France de formule 1
- Le projet immobilier Iconic
- Le projet immobilier l'Avant Scène
- Le détournement de déchets vers l'Espagne
- Des frais de bouche et de déplacements
- etc.
S'y ajoute récemment les cadeaux qu'aurait reçu
Christian Estrosi du sculpteur Richard Orlinski, sans parler des procédures
visant Laura Tenoudji-Estrosi...
L'accumulation d'affaires, d'enquêtes judiciaires en
cours avec perquisition et désormais gardes à vues pousse à un double constat :
- La nécessité de faire, le plus rapidement possible,
toute la transparence devant les Niçoises et des Niçois
- Le besoin de revoir profondément les pratiques,
notamment de passation des marchés publics
Le rassemblement citoyen VIVA porte, dans ses
propositions, l'exigence de mettre en place une charte éthique, réellement contraignante et suivie d'effets, contre le risque
de manquements à la probité et le risque de corruption. Plus que jamais cette
exigence est d'actualité.
Viva – Démocratie, écologie, solidarité - Nice, le 13 mars 2024
dimanche 10 mars 2024
Condamnation et recrutement de Rabah Souchi
lundi 4 mars 2024
Logement social : la léthargie de Christian Estrosi sanctionnée
ViVA! Démocratie, Écologie, Solidarité
Nice, le 4 mars 2024
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jeudi 22 février 2024
samedi 17 février 2024
Logements sociaux : faut il assouplir la loi SRU ?
En débat face au maire de Villeneuve Loubet sur la loi Solidarité et Renouvelable Urbain et la question des logements sociaux, à l'invitation de Nice Matin et BFM Nice Côte d’azur.
Verbatim :- "La loi SRU est une loi d'aménagement du territoire et de solidarité qui vise à rendre effectif le droit fondamental qu'est le droit au logement. L'article 55 vis à garantir la répartition des logements sociaux sur tout le territoire national pour limiter la ghettoïsation et la ségrégation urbaine"
- "Introduire les logements intermédiaires revient à abroger l'obligation légale de 25% de logements sociaux"
- "Les maires qui revendiquent de ne pas appliquer loi font du séparatisme social"
- "Que vont devenir les familles qui ne pourront plus se loger ni dans le parc privé ni dans le parc public ? Que leur restera-t-il ? Les marchands de sommeil ? Les squats ? La rue ? Nous devrons de toute façon les aider via les dispositifs d'urgence sociale, les CCAS et les centres d'hébergements"
mercredi 14 février 2024
Département 06 : une plainte pour faire diversion
Communiqué de presse de l’association Tous Citoyens
Notre communiqué est en ligne ici : https://touscitoyens06.blogspot.com/2023/12/quand-le-departement-06-met-la-rue-des.html
Cette alerte a donné lieu à un article de l’Humanité : https://touscitoyens06.blogspot.com/2023/11/mariam-mere-adolescente-abandonnee.html
Et à un reportage de France 3 Côte d'Azur : https://touscitoyens06.blogspot.com/2024/01/mineurs-non-accompagnes-france-3-cote.html
Le Département 06, au lieu de répondre sur le fond et d’expliquer comment la mise en danger de ces jeunes exilé-es a été possible, tente de faire diversion en déposant plainte contre notre association pour diffamation.
L’objet de la plainte :
La réalité :
Oui, des jeunes évalués majeurs fuguent par crainte d'être arrêtés par la police sur dénonciation du Département 06.
Oui, c’est bien là mainlevée du placement prononcée par le Département qui provoque la mise à la rue du ou de la jeune.
Nous avons dénoncé ces arrestations :
https://touscitoyens06.blogspot.com/2021/04/convoque-par-laide-sociale-lenfance.html
Cela a donné lieu à une dépêche AFP : https://touscitoyens06.blogspot.com/2021/04/depeche-afp-nice-des-jeunes-etrangers.html
Un article Nice Matin : https://touscitoyens06.blogspot.com/2021/04/nice-matin-ils-ressortent-menottes-de.html
Et un article de l’Humanité : https://touscitoyens06.blogspot.com/2021/04/lhumanite-nice-des-enfants-livres-la.html
Pourquoi une plainte ?
Cette plainte est une tentative d’intimidation contre une association qui dénonce des faits commis par une institution. Il s’agit d’une procédure bâillon pour faire taire Tous citoyens.
L’enjeu :
Le véritable enjeu n’est pas ici notre association mais la protection des mineur-es et jeunes majeurs vulnérables dans les Alpes-Maritimes.
Plus d’une fois sur deux, quand le ou la jeune que nous accompagnons conteste l’évaluation concluant à sa majorité, la justice contredit la décision du Département 06, reconnaît la minorité et ordonne le placement de l’interressé-e.
Et si le Département évalue un-e jeune comme majeur-e mais que le ou la jeune est sous surveillance médicale ou doit être hospitalisé-e, le Département ne doit en aucun cas prononcer la mainlevée du placement sans s’assurer de la prise en charge de la personne par les services compétents. La mise à la rue d’une jeune fille enceinte ou d’un jeune garçon en attente d’une greffe du tendon à l’hôpital constitue une inadmissible mise en danger.
Nous demandons un accueil digne des mineur-es isolé-es et jeunes majeur-es dans les Alpes-Maritimes. C'est par un dialogue ouvert entre institutions et associations et un travail commun à l'ensemble des parties prenantes de cet accueil que nous résoudrons les difficultés.
mardi 6 février 2024
Évolution des mots de l'extrême droite et banalisation de ses idées, rencontre avec Isabelle Kersimon
Bonjour,
« Bobos », « féminazies », « camp du bien », « pensée unique », « droit-de-l’hommisme », « grand remplacement », « insécurité culturelle », « islamogauchisme », « tyrannie des minorités », « wokisme », etc. Autant de mots et expressions devenus familiers et qui ont pourtant été imposés dans le débat public par l’extrême droite.
À travers son livre "Les mots de la haine. Glossaire des mots de l’extrême droite", Isabelle Kersimon nous confronte à l’un des grands défis de notre temps : les haines de l’extrême droite (antiféministe, anti-intellectuelle, antisémite, antimusulmane, etc.) s’alimentent les unes les autres dans ses mots, tendent à devenir hégémoniques et constituent une menace réelle pour la démocratie.
L'association Tous citoyens a le plaisir de vous inviter, en partenariat avec la librairie Les Parleuses, à une rencontre-débat avec Isabelle Kersimon le :
Samedi 17 février à 18 heures
Librairie Les Parleuses, 18 rue Defly à Nice
Cette rencontre avec l’autrice portera sur son travail critique dans les "Mots de la haine" et sur la nécessité urgente de mener collectivement le combat sur le terrain culturel investi par l’extrême droite.
Isabelle Kersimon participera également, dans la matinée du 17 février, à un colloque universitaire ouvert au public, aux côtés de Jean Yves Pranchère, Sofiane Haris et Frédérik Detue.
Informations disponibles ici : https://ctel.univ-cotedazur.
En espérant vous retrouver nombreuses et nombreux,
L’équipe de Tous Citoyens !
lundi 22 janvier 2024
Logements vacants à Nice : inaction et opacité
Rassemblement citoyen « Viva, démocratie, écologie,
solidarité »
Logements vacants à Nice : inaction et opacité
Les propos du premier adjoint de Christian Estrosi,
Anthony Borré, déclarant dans la presse locale « L'engagement de la Métropole,
et en particulier celui de la Ville de Nice, est important et vigoureux
pour lutter contre la vacance des logements » sont proprement surréalistes.
En effet, ces propos ne reflètent en rien la réalité :
Les chiffres :
Depuis l’élection de Christian Estrosi en 2008, il y a
plus de 5 500 logements vacants supplémentaires à Nice (chiffres INSEE). Nous
atteignons, toujours selon les derniers chiffres de l’INSEE, un total de
logements vacants qui avoisinent les 33 000. La ville de Nice compte un
taux de logements vacants de 14%, près de deux fois supérieur à la moyenne
nationale qui est de 8% ! Dans le même temps, Nice, avec 14% de
logements sociaux, est très loin d’atteindre le taux minimal fixé par la loi
SRU (25%).
Triste record pour la ville de Nice, elle compte
autant de logements vacants que de logements sociaux.
L’exemple :
Le ministère du logement a lancé un Plan de
Requalification des Quartiers Anciens Dégradés (PNRQAD) intégrant la
localisation des logements vacants et leur remise sur le marché locatif, soit
par aides financières aux propriétaires si des travaux sont nécessaires, soit
par préemption de la Ville pour les convertir en logements sociaux. Lancé à
Nice en 2010 sur un périmètre couvrant le quartier de la gare Thiers (de la rue
Vernier à la rue d'Italie, bd Dubouchage et rue Lépante), ce programme est doté
de 78 millions d’euros. Quels sont les résultats de cette opération ? Combien
de logements vacants ont été captés et remis sur le marché locatif en 14
ans ? Rien, silence radio. L’opacité règne.
Ces chiffres et cet exemple illustrent l’échec de la politique du logement à Nice. Loin de lutter contre la multiplication des logements vacants qui traduisent souvent des opérations à vocation spéculative, Christian Estrosi laisse faire. Un « laissez faire, laissez spéculer », en toute tranquillité, qui se fait au détriment des habitant-es de cette ville qui se ruinent pour s’y loger dans des conditions souvent à peine satisfaisantes.
Viva – Démocratie, écologie, solidarité - Nice, le 22 janvier 2024